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YUMI IS BACK !

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Lizzy Asleïon

Lizzy Asleïon
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MessageSujet: YUMI IS BACK ! YUMI IS BACK !  EmptyDim 3 Fév - 18:44





Yumi R. Oaps




Identité


Date de naissance: 13/05/90
Sexe: F
Caractère  (4 lignes minimum):

Yumi est du genre... instable. Plutôt masculine, elle préfère les matchs de boxe aux films à l'eau de rose - qui lui donne des envies de meurtre depuis sa dernière grande relation amoureuse. A première vue, elle se rapproche plus de l'homme c'est vrai, ne serai-ce que dans sa façon très carrée d'aborder les choses. Elle a un caractère bien trempé, prête à saigner à blanc qui l'approche de trop près. C'est une sanguine.
Non, la jeune femme n'est pas si douée que ça dans les relations amicales, et rares sont ceux qui ont la chance de la connaitre vraiment.
C'est qu'elle a beaucoup de mal à se dévoiler, cachant ses malaises derrière un dédain malsain à l'égard de presque tout le monde, et un fort penchant pour l'alcool.
Oui, la brune fait partie de ceux qui sortent chaque soir en boîte et boivent jusqu'à se déchirer la tête, soit jusqu'à s'en faire vomir. Mais quand elle est ivre - même ivre morte allongée sur la piste de danse - , c'est le seul moment où elle peut oublier ses démons, se déchainer et se sentir bien sans se soucier du reste. Mais personne à part elle ne connait cette facette d'elle-même. De jour, la jeune femme fait tout pour cacher son alcoolisme, et feint que tout va bien. Elle passe ainsi pour quelqu'un de normal, banal. Ses virées nocturnes, elle en a besoin pour ne pas briser ce qui lui reste d'équilibre mental. Mais elle a beau être au fond du trou, son orgueil l'empêche de demander de l'aide. Elle tient trop à préserver ce qui lui reste de fierté.
Malgré tout, toute cette aura sombre qui entoure la jeune femme, il se dégage d'elle une grâce toute féminine, un charisme naturel qui poussent les gens à garder les yeux sur elle.
Son ancienne joie de vivre ne demande qu'à ressortir, mais elle est assaillie par trop de  souvenirs sombres pour se laisser aller à ça. Yumi est fragile, fragile comme un château de carte menaçant de s'effondrer au moindre coup de vent. Elle a peur de retomber pour de bon, bousiller encore une fois le peu qu'elle a réussi à reconstruire. Elle peut bien nier comme elle veux, elle a besoin d'aide. Terriblement besoin d'aide...

Physique:

Tu t'approches, tes mains glisses le long de sa peau mate. Elle te repousse violemment. Tu la regardes, incrédule. Sa silhouette ne te dérange pas, tu adores ses formes discrètes et ses muscles affirmés. Sa cascade de cheveux noirs charbon, infiniment lisses coule jusqu'à ses seins. La brune t'observe de ses grands yeux bleus électrique. Ils brillent d'un éclat farouche mais tu y repères comme une fêlure, un point faible. Tu entrevois son visage : son nez en trompette, ses lèvres fines, son cou gracile te semblent parfaits, bien que son expression te semble infiniment fermée. Tu as essayé de la convaincre de porter des robes, mais elle refuse, s'obstine à mettre des vieux jeans déchirés, des t-shirts délavés. Parfois même, tu sais qu'elle se fait passer pour un garçon, avec des fringues trop grandes et une vieille casquette verte vissée sur la tête. Tu n'en vois pas l’intérêt d'ailleurs. Tu sais que si son visage était moins dur, elle aurait la beauté d’Aphrodite. Même si à tes yeux elle est déjà magnifique. Mais quelque chose chez elle te fascine, peut-être son grain de beauté si particulier à côté de l’œil gauche,  et tu ne peux pas t'empêcher de la dévisager, même si quelque part tu as l'impression que tu devrais détourner les yeux. Tu es hypnotisé par sa démarche souple et le mouvement chaviré de ses hanches, mais tu n'es pas dupe.
Tu le vois bien qu'elle va mal. Cela se comprend à sa manière de se mordiller la lèvre inférieure avec anxiété, à sa façon de se ronger les ongles, aussi. Tu voudrais la prendre dans tes bras, tu en as très envie mais tu comprends que ce n'est pas une bonne idée. Trop de violence émane d'elle.
Alors tu continues à la regarder, et plus tu l'observes plus un mot te reste au bord des lèvres : fa-sci-nante.


Histoire



    Yumi : où comment toucher le fond comme on change de chemise.L'enfant naquit à Paris, sa mère serveuse dans un petit bistrot. C'était une jeune femme d'une grande beauté, une orpheline d'origine égyptienne. Seule témoignage de ses ancêtres, son teint buriné et ses grands yeux noirs lui conférait un charme oriental sans égal. Selon les habitués, c'était une jeune femme  naïve, une fille facile. Une trainée d’immigrée, même. Ça, c'est ce qu'ils avaient commencé à dire quand la parisienne était un jour apparu au travail, le ventre légèrement rond, et qu'elle avait quelques mois plus tard accouché d'une petite fille à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Pourtant il n'y avait pas trace de père. Et l'égyptienne ignorait sans broncher les langues de vipère derrière son dos, la tête haute, sans jamais en dire plus sur cette grossesse. Cette petite fille, elle l'avait appelée Yumi, sans trop savoir ce que cela signifiait. Elle trouvait ça joli, c'était suffisant. Du mieux qu'elle pût, elle s'occupa de sa fille, seule. Toutes les deux vivaient dans une chambre de bonne sous les toits. C'était petit et délabré, mais au moins ça avait l'avantage de ne pas couter cher en loyer. L'enfant grandissait, jolie gamine pleine de vie. Elle tenait de sa mère dans sa façon de se tenir, sa manière de sourire. Mais ses cheveux lisses, ses yeux bleus électrique n'avaient rien avoir avec la belle égyptienne. La petite fille sentait bien que quelque-chose ne tournait pas rond. Les autres enfants avaient tous deux parents pour venir les cherchait à la sortie de l'école. Or elle, elle n'avait que sa mère. Quand elle lui en fît la remarque à l'âge de sept ans, sa génitrice haussât les épaules, expliquant brièvement que son père était parti il y a très longtemps, et qu'il ne reviendrait pas. Sa voix se voulait détachée, mais son regard triste trahissait ses sentiments. Quand l'enfant insista pour en savoir plus sur son géniteur, la femme se fâcha et affirma seulement avec colère qu'il valait mieux ne pas le connaitre.  La petite fille n'aborda plus jamais le sujet, consciente que cela faisait du mal à sa mère. A partir de ce moment, l'état de santé de la parisienne commença à se détériorer. Sa respiration devenait difficile, elle toussait en permanence, la mine cireuse, et se mit bientôt à cracher du sang. Cela était maintenant si fréquent que ça en devenait gênant pour son travail. Et son patron menaça de la virer si jamais elle n'allait pas consulter quelqu'un.Yumi se souvient bien de l'expression tendue et des yeux fuyants du médecin quand il diagnostiqua à sa mère un cancer du poumon. Elle, elle avait insisté pour être présente et entendre le diagnostique. Si seulement elle s'était abstenue... A côté d'elle, sa mère avait baissé la tête. Elle avait les traits tirés, le regard éteint, comme résignée. Il murmura ensuite du bout des lèvres que la tumeur était trop grosse pour être opérée, mais que la chimio-thérapie lui permettrait de vivre quelques mois supplémentaires. Ce à quoi elle répondit très calmement qu'elle préférait mourir vite, et avec dignité. Quand elles étaient rentrées à la maison, l'enfant, choquée, lui avait violemment balancé à la figure qu'elle ne pensait pas à elle, que sa décision était égoïste. C'était méchant, juste méchant, mais l'enfant était au bord de la panique, il fallait qu'elle extériorise ses sentiments. Sa mère, doucement, s'était agenouillée devant elle et avait passé sa main dans ses cheveux noirs, en lui susurrant des mots rassurants.  Mais la fillette avait fondu en sanglots, sa mère avait passé la nuit à la consoler. La période qui suivit fût intense. La belle égyptienne était à l'hôpital, sa fille venait la voir tous les jours après les cours, et restait jusqu'à la nuit tombée à ses côtés. On lui avait donné une nourrice pour s'occuper d'elle, le temps que sa mère puisse régler le problème de "qui s'occupera de toi quand je ne pourrais plus le faire". Mais il n'y avait personne, pas de famille, ni d'amis pour prendre en charge l'enfant. Pourtant la femme sous-entendait qu'il y avait bien quelqu'un. Un jour que la petite fille rendait visite à sa mère, elle découvrit un homme, debout près du lit. Intriguée, elle s'approcha, l'homme se retourna, le cœur de Yumi manqua un battement. L'homme avait les yeux bleus, bleus électrique. L'expression de sa mère confirma ses craintes. Quelques jours plus tard, celle-ci s'éteignait, et on lui annonça qu'elle vivrait désormais chez son père, l'homme qu'elle avait vu à l'hôpital, un riche PDG d'une entreprise de recherche en pharmaceutique de rang mondial. Elle emménagea dans un luxueux immeuble parisien, où tout un étage lui était réservé, ainsi que tout une foule de personne à son service.Mais celle-ci s'en fichait éperdument. Elle ne s'alimentait presque pas, refusait d'adresser la parole à son géniteur qui lui de son côté, ne faisait pas non plus vraiment d'efforts pour améliorer la situation. Il se considérait déjà assez généreux de recueillir la gamine, qui n'était après tout qu'une bâtarde... Et l'enfant le considérait comme un être ignoble, se demandant ce que sa mère avait bien pu faire avec une ordure pareille. Les années passaient, et leur relation ne s'améliorait pas. Enfin si, maintenant Yumi adressait la parole à son père. Quand il s'énervait, exigeait un mot de sa part, elle l'assaillait d'insultes plus horribles les unes que les autres, le jugeant responsable de la mort de sa mère comme s'il avait été la tumeur. La fillette avait grandi, était devenue une peste horripilante et rebelle. Elle en était déjà à sa troisième tentative de fugue.  A son douzième anniversaire, le père décida d'envoyer sa fille en internat, ce que celle-ci prît pour une déclaration ouverte de guerre, même si elle était bien heureuse de s'éloigner de la capitale. Son internat, se trouvait dans le sud est de la France, au bord de la méditerranée. Il était réputé pour obtenir de très bons résultats avec les jeunes dit "désespérés" de façon. La fille eu du mal à s'adapter; énormément... Ici, tout le monde, amis ou ennemis, était soudé. On aurait dit une grande, une immense famille joyeuse et bordélique.Et cette grande famille se formait de plusieurs groupes de sous catégories formées naturellement par les élèves : les groupes de l'internat. C'était un concept étonnant. La brune le trouva tout d'abord bizarre, et défavorable pour son adaptatation. Pourtant il y avait ce groupe de jeunes, tous le corps bien sculpté, tous le même sourire détendu aux lèvres. Une chose était à l'origine de leur ressemblance : leur amour du sport.Ils s'entrainaient de jour, de nuit, à la course, la boxe, la gymnastique, le basket, le saut en hauteur, le skateboard, la natation... jusqu'à avoir les mains écorchées, les muscles tétanisés, le corps paralysé. Les autres les appelaient péjorativement "les masochistes". Mais Yumi, presque malgré elle les trouvait fascinants, tous autant qu'ils étaient. Ils avaient quelque-chose au fond du regard, une joie de vivre débordante. Si bien que pousser par son instinct, la brune na tarda pas à rejoindre leur groupe.Les sportifs, c'est sans doute quelque-chose qui lui aura donné, autant que ça lui aura couter...Cela lui avait apporter son goût compulsif de l'effort, qui avait forger son mental plus de cinq années durant. Elle excellait surtout en acrobatie, toujours à rechercher la perfection dans ses figures.  Avec les autres adolescents du groupe, la jeune fille put s'épanouir, et petit à petit, elle leur ressemblait de plus en plus, autant physiquement qu’émotionnellement. Elle passait son temps en leur compagnie, et cette période de sa vie fut une des plus heureuses. Elle se sentait bien, simplement. Et le temps passait ainsi, la brune avait maintenant quinze ans. Si ses soucis avec son paternel étaient toujours bien présent, elle avait trouver un échappatoire à ses problèmes.Et puis en ce moment, elle avait quelque-chose de tout autre en tête. Chez les "masochistes" il y avait un gars. Un bel asiatique musclé aux mèches rouges, d'un an de plus qu'elle, du nom de Shindara Fujimi. Il était là depuis longtemps, très longtemps. C'était un peu le leader charismatique des sportifs. Il était si impressionant et respecté que même les cogneurs de l'internat hésitaient à le provoquer. Depuis quelques temps, Yumi et lui s'étaient rapprochés. Beaucoup rapprochés... Au point que la brune ne savait plus que penser. Disons que dès qu'elle voyait son sourire espiègle, et son regard tendre posé sur elle, elle sentait son esprit devenir confus, son cœur s'emplir d'un sentiment inconnu. L'asiatique ne semblait pas non plus insensible au charme de la française. Ce gars, il l'avait dans la peau, elle aussi.Fatalement, ils finirent par tomber amoureux, s'embrasser, former un couple. L'adolescente ne fut jamais plus heureuse qu'à ses côtés, à cette époque. Ils s'aimaient, peu importait le reste. Mais leurs caractères étaient trop forts et opposés pour que l'histoire se finissent en happy ending.... Les deux n'arrêtaient pas de se disputer, de se réconcilier. Mais ça n'était pas grave, ils s'aimaient trop pour que cela fasse quelque-chose. Jusqu'au jour où...Un matin, en plein cours de math - transformé en géante récréation par les élèves survoltés -, le principal en personne vint demander à Shindara de le suivre pour lui parler. En privé. La jeune fille sût ensuite que c'était pour lui annoncer une nouvelle horrible, qu'elle avait elle même déjà entendue : la mort de sa mère. La brune voulut le réconforter, en allant le rejoindre dans sa chambre le soir venu. Mais le brun était trop bouleversé pour se laisser consoler. Il l'agressa littéralement, le ton monta entre les deux tourtereaux. Ils ne tardèrent pas à en venir aux mains, extrémité qu'il n'avait jamais atteints au par avant. Les deux roulèrent sur le sol, jusqu'à tout renverser dans la pièce façon tornade. Blessée à l'épaule, la brune se leva, et s'en alla en claquant la porte. Les excuses de Shindara n'eurent malheureusement pas l'effet escompté, lui et Yumi finirent encore à se battre comme des chiffonniers. Sans trop s'en rendre compte, ils venaient de passer dans une nouvelle ère. Un mois durant, l'asiatique repartit dans son pays d'origine pour l'enterrement de sa mère et faire le deuil. Et un mois durant, la jeune fille s'en voulut de ne pas avoir été plus compréhensive avec le sportif. Elle souffrait de son absence. La situation n'était pas claire entre eux deux. La brune était pommée, ne sachant plus que penser de son amour,  que penser d'elle-même.Au moment où elle était au plus mal, elle reçut une aide inattendue. Celle d'un garçon, appartenant normalement au groupe des cogneurs. Pourtant, il ne ressemblait pas à ses grosses brutes de confrères. C'était bête, mais avec ses blagues débiles, il arrivait à faire rire la brune, il lui redonna le morale, ils devinrent très amis. Un peu trop au goût de certains... Shindara, rentrant à peine d'Asie, complètement déprimé, vit cette relation d'un mauvais œil. Quand il voulut tirer la situation au claire, les scènes de ménage recommencèrent. Les cris de Yumi à son égard laissaient bien entendre de son point de vue que "l'autre" lui avait définitivement piquer sa copine. Et le temps que la sportive passait au côté de son nouvel ami ne faisait que renforcer son idée qu'ils formaient un couple. Désespéré par cette trahison, le garçon se mit à boire, en très grande quantité. Même Yumi n'osait plus l'approcher.Il ressentait toujours des choses pour elle, il était loin de se douter qu'elle aussi.Mais un soir, pendant la période de Noël, il voulut commettre l'irréparable. Ivre à en crever, une idée lui vint en tête. Une idée horriblement délicieuse. Tard dans la nuit, il s'introduit dans la chambre de la jeune fille, la colla au lit sans lui laisser le temps de réagir. Et plus sa victime se débattait, plus sa pression sur ses poignets s'accentuait.Il commença à couvrir son corps de baisers avec une délectation perverse, alors que Yumi l'implorait de s'arrêter. De tout ce qu'il aurait pu faire comme conneries, il avait choisi la pire : le viol. Mais trop lâche pour continuer, il stoppa avant le final.Il prononça quelques mots d'excuse, et sortit de la chambre. Le lendemain, il quittait l'Europe.La jeune fille mit un temps infini à se remettre de cette relation meurtrière, dont les plaies restent toujours bien présentes dans son esprit et sur son corps. En vérité, elle ne s'est jamais vraiment remise.  A dix-huit ans, la brune est revenue sur Paris et s'est vraiment mise à dérailler. Allant de soirée en soirée pour oublier l'échec lamentable de sa vie, elle finit au bout de deux ans par se remettre assez sur pieds pour se proposer comme acrobate au cirque Eloize, un cirque parisien qu'elle estime depuis longtemps. Elle est engagée sans difficulté.  Aujourd'hui elle a vingt-trois ans, et mène toujours la même vie. Si elle va mieux en apparence, c'est bel et bien seulement en apparence. Et voila que maintenant son père, qui semble vouloir faire la paix avec sa fille, lui propose un héritage conséquent qui lui permettrai de se placer dans le top des plus grandes fortunes européennes. Ne sachant pas vraiment quoi répondre à ça, la jeune fille ne lui a pas encore donner sa réponse...

Questionnaire de répartition


1. Ton moment préféré de la journée, c'est :

c. Quand matinée et nuit se confonde, c'est là que la fête est plus folle !

2. Quand tu es/étais à l'école tu es/étais plutôt du genre :

c. Perturbateur : les profs sont des enquiquineurs de première, alors si en s'amusant un peu pendant les cours on peut se faire renvoyer deux-trois jours, ça fait toujours des vacances de gagnées !

3. Tes derniers petits amis, c'était plutôt :

c. De toute façon les histoires d'amour finissent mal alors...


4. Tu vois quelqu'un se faire agresser dans le métro pour son sac, que fais tu ? :

d. Sans penser aux risques, tu te jettes sur l'agresseur pour laisser le temps à la victime de fuir.


5. Le plus souvent, quand tu rêves, tu te vois :

c. Volant dans les airs, tu serais libre comme les oiseaux...

6. Ta plus grande qualité :

e. Tu es un vrai bout-en-train reconnu et sans aucunes limites...

7. Ce qui te déplait dans ta vie :

b. A force de jouer, tu t'es semé(e) à un tournant, et tu n'as de cesse que de retrouver qui tu es vraiment...
.

Soit réel



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Dernière édition par Lizzy Asleïon le Jeu 17 Mai - 12:35, édité 10 fois
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Tobias S. Gage

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MessageSujet: Re: YUMI IS BACK ! YUMI IS BACK !  EmptyMer 6 Fév - 16:12

Le retour de Yumiii! (...Vu comme ça,shinda' est un salop*rd u.u'')
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Lizzy Asleïon

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MessageSujet: Re: YUMI IS BACK ! YUMI IS BACK !  EmptyMer 6 Fév - 21:05

Ouiiii ! Le retour du rottweiler (oui, effectivement, tu m'excuseras de le faire passer pour un mec violent et paranoïaque (en plus en vrai c'est Yumi qui le tape mais pour le viol j'ai presque reproduit trait pour trait la scène originelle (presque) U___U)) ! OWO
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Lizzy Asleïon

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MessageSujet: Re: YUMI IS BACK ! YUMI IS BACK !  EmptyVen 8 Fév - 23:05

Bon, c'est bâclé, ça n'a ni queue ni tête mais je me valide et me décerne moi-même le rang de Party Rocker yeaaaaaaaaaaaaaah (nan, pas besoin des autres U___U) !
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