Date de naissance: 13/07/1990 (21 ans)
Sexe: Homme
Caractère : Jeune homme de 21 ans, Altaïr est quelqu'un de farouche et possédant un instinct de survit très... douteux... Enfin, c'est ce qu'il montre au public et à tout les gens pas net, mais est il vraiment aussi naïf qu'il veut le faire croire? Réfléchit, Altaïr n'agit que par ruse et est un bon manipulateur, toujours impliqué dans des bagarres (et pas mal de truc pas très très net), il sait se battre et pratique les arts martiaux. Il a tout du délinquant rebelle, sauf son caractère qui le fait plutôt paraître comme le tacticien des armées. Calme mais d'un naturel taquin et provocateur, c'est un fou qui ne cherche que les ennuis et qu'on ne prend pas au sérieux de part son attitude clairement enfantine.
Physique: Pas très grand pour son âge, la plupart des autres adultes de son âge font pratiquement une demi tête de plus que lui. Des cheveux noir, mi long lui arrivant à mi dos souvent attaché et des yeux tirant sur le mauve pâle, il a toujours un sourire en coin, de quoi exaspérer les gens avec qui il parle. Sa peau est d'une pâleur lunaire, et pourtant il n'est ni malade, ni mourant. Il est toujours vêtu de sombre, et les armes le passionne, c'est pour ça qu'il en a tout un attirail chez lui. Il n'est pas bien dodu, peut être même un peu trop fin, mais n'est pas non plus près à ce casser. D'ailleurs, sous ses allures non bagarreuse, ce cache des muscles bien entraînés qui font surprise.

Altaïr est né ici et y a grandi. Au départ, sa vie n'avait rien de palpitant, il ne se rendait pas compte de tout ce qui l'entourait dés lors. Il vivait sa vie insouciante de jeune enfant protégé par une mère à l'instinct maternel surdéveloppé, celui du genre où quand t'essaye de t'éloigner à plus de vingt mètres quand ta mère te voit pas et que celle ci fait soudain volte face comme si elle avait sentit tes idées de fuite et qu'elle te rappelle soudain. T'as plus qu'à rappliqué vite fait près de la matrone avant de te faire passer un savon. Bref, sa vie insouciante de tout sur la ville la nuit se passa sans le moindre problème et c'est très discrètement qu'il commença à fréquenter les mauvaises personnes, ayant une mère poule en guise d'amie soutenu par son meilleur ami (le traître!). Avançons un peu dans le temps pour nous retrouver dans le présente de l'histoire actuel. ~

La respiration saccadée, le regard pétillant d'excitation, il courrait dans les rues de la ville, poursuivit peu discrètement par des types qu'il avait arnaqué il y avait quelques minutes. Il ricana et obliqua brusquement dans une petite rue entre deux bâtiments et se plaqua contre un mur, dans l'ombre. Ses poursuivants continuèrent de courir et il les suivis des yeux jusqu'à ce qu'ils disparaissent de sa vue. Il s'autorisa enfin à calmer sa respiration et fit bien attention à ce que personne ne le remarque avant de se fondre dans la foule. Il se dirigea tranquillement vers son appartement et ne prit que le temps de se déchausser et d'enlever son manteau avant d'aller prendre une douche. Il ressortit avec une serviette autour de la taille et sonda sa chambre du regard avant de sortir un boxer et un pantalon, le tout noir bien sur. Il laissa la serviette sur ses épaules et se dirigea tranquillement vers la cuisine où il s'affaira pendant une quelques minutes à faire une salade, il n'avait pas envie de ce compliquer la vie, et s'installa tranquillement pour manger en cherchant quelque chose à regarder pour enfin aller se coucher (car il était quand même tard: 23h00) et que le lendemain s'annoncer amusant, après tout, il avait un "rendez-vous." ~

1. Ton moment préféré de la journée, c'est :

b. En début de soirée, quand le ciel commence à se faire sombre, c'est un moment idéal pour régler ses problèmes...

2. Quand tu es/étais à l'école tu es/étais plutôt du genre :

c. Perturbateur : les profs sont des enquiquineurs de première, alors si en s'amusant un peu pendant les cours on peut se faire renvoyer deux-trois jours, ça fait toujours des vacances de gagnées !

3. Tes derniers petits amis, c'était plutôt :

c. De toute façon les histoires d'amour finissent mal alors...

4. Tu vois quelqu'un se faire agresser dans le métro pour son sac, que fais tu ? :

a. Tu passes ton chemin, ça ne te concerne pas.

5. Le plus souvent, quand tu rêves, tu te vois :

c. Volant dans les airs, tu serais libre comme les oiseaux...

6. Ta plus grande qualité :

a. Tu n'as aucune morale débile pour te freiner.

7. Ce qui te déplaît dans ta vie :

d. Malgré tout tes efforts, tes méfaits te rattrapent. Au fond de toi, tu oscilles entre la folie douce et la dépression.

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